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PhiladelphiaArizona
BaltimorePittsburgh
Pittsburgh Steelers (12 - 4)Sun. 01/02 6:30pm ETArizona Cardinals (9 - 7)
Atlanta Falcons (5)
24
Arizona Cardinals (4)
30
Sat. 03/01
4:30pm ET
Pass: K. Warner (ARI) - 271 yds, 2 TD, 1 INT
Rush: E. James (ARI) - 16 car, 73 yds
Rec: L. Fitzgerald (ARI) - 6 rec, 101 yds, 1 TD

Fiche du match…
Philadelphia Eagles (6)
26
Minnesota Vickings (3)
14
Sun. 04/01
4:30pm ET
Pass: D. McNabb (PHI) - 300 yds, 1 TD, 1 INT
Rush: A. Peterson (MIN) - 20 car, 83 yds, 2 TD
Rec: B. Westbrook (PHI) - 3 rec, 83 yds, 1 TD

Fiche du match…
Indianapolis Colts (5)
17
Los Angeles Chargers (4)
23
Sat. 03/01
8:00pm ET
Pass: P. Manning (IND) - 310 yds, 1 TD
Rush: D. Sproles (SD) - 22 car, 105 yds, 2 TD
Rec: R. Wayne (IND) - 4 rec, 129 yds, 1 TD

Fiche du match…
Baltimore Ravens (6)
27
Miami Dolphins (3)
9
Sun. 04/01
1:00pm ET
Pass: C. Pennington (MIA) - 252 yds, 1 TD, 4 INT
Rush: L. McClain (BAL) - 19 car, 75 yds, 1 TD
Rec: D. Mason (BAL) - 4 rec, 71 yds
Fiche du match…
Arizona Cardinals (4)
33
Carolina Panthers (2)
13
Sat. 10/01
8:15pm ET
Pass: K. Warner (ARI) - 220 yds, 2 TD, 1 INT
Rush: T. Hightower (ARI) - 17 car, 76 yds
Rec: L. Fitzgerald (ARI) - 8 rec, 166 yds, 1 TD

Fiche du match…
Philadelphia Eagles (6)
23
New York Giants (1)
11
Sun. 11/01
1:00pm ET
Pass: D. McNabb (PHI) - 217 yds, 1 TD, 2 INT
Rush: B. Jacobs (NYG) - 19 car, 92 yds
Rec: D. Jackson (PHI) - 4 rec, 81 yds

Fiche du match…
Baltimore Ravens (6)
13
Tennessee Titans (1)
10
Sat. 10/01
4:30pm ET
Pass: K. Collins (TEN) - 281 yds, 1 INT
Rush: C. Johnson (TEN) - 11 car, 72 yds, 1 TD
Rec: J. Gage (TEN) - 10 rec, 135 yds

Fiche du match…
Los Angeles Chargers (4)
24
Pittsburgh Steelers (2)
35
Sun. 11/01
4:45pm ET
Pass: P. Rivers (SD) - 308 yds, 3 TD, 1 INT
Rush: W. Parker (PIT) - 27 car, 146 yds, 2 TD
Rec: D. Sproles (SD) - 5 rec, 91 yds, 1 TD

Fiche du match…
Philadelphia Eagles (6)
25
Arizona Cardinals (4)
32
Sun. 18/01
3:00pm ET
Pass: D. McNabb (PHI) - 375 yds, 3 TD, 1 INT
Rush: E. James (ARI) - 16 car, 73 yds
Rec: L. Fitzgerald (ARI) - 9 rec, 152 yds, 3 TD

Fiche du match…
Baltimore Ravens (6)
14
Pittsburgh Steelers (2)
23
Sun. 18/01
6:30pm ET
Pass: B. Roethlisberger (PIT) - 255 yds, 1 TD
Rush: W. McGahee (BAL) - 20 car, 60 yds, 2 TD
Rec: S. Holmes (PIT) - 2 rec, 70 yds, 1 TD

Fiche du match…
Pittsburgh Steelers
27
Arizona Cardinals
23
Sun. 01/02
6:30pm ET
Pass: K. Warner (ARI) - 377 yds, 3 TD, 1 INT
Rush: W. Parker (PIT) - 19 car, 53 yds
Rec: S. Holmes (PIT) - 9 rec, 131 yds, 1 TD

Fiche du match…

Wildcard

Tableau des équipes qualifiées Bilan de la saison régulière 2008-2009

Notons qu'à cause du système en vigueur, le niveau étant tellement élevé dans certaines divisions, certaines équipes ne sont finalement pas qualifiées malgré un bilan largement positif sur la saison (ex: les New England Patriots avec 11 victoires pour 5 défaites, un record pour une équipe éliminée), alors que les San Diego Chargers ont décroché leur qualification dans le dernier match (le prime-time du dimanche soir) et, malgré leur bilan mitigé de 8 victoires pour 8 défaites, auront l'avantage de recevoir dans le match du 1er tour.
Équipes qualifiées : saison 2008-2009
RangConférence Américaine (AFC)Bilan
1
Tennessee Titans
13 - 3
2
Pittsburgh Steelers
12 - 4
3
Miami Dolphins
11 - 5
4
Los Angeles Chargers
8 - 8
5
Indianapolis Colts
12 - 4
6
Baltimore Ravens
11 - 5
RangConférence Nationale (NFC)Bilan
1
New York Giants
12 - 4
2
Carolina Panthers
12 - 4
3
Minnesota Vickings
10 - 6
4
Arizona Cardinals
9 - 7
5
Atlanta Falcons
11 - 5
6
Philadelphia Eagles
9 - 6 - 1
  • Le match "prolifique" (ou "de la résurrection") : ces deux équipes, souvent faibles ces dernières saisons, faisaient leur come-back en playoff. Autre come-back remarqué, celui de Kurt Warner qui permet aux Cardinals de remporter un match de playoff à domicile pour la première fois en xx années.
  • Le match "tranquille" : les Vikings, pourtant à domicile, n'ont jamais semblé être en mesure d'inquiéter les Eagles. Ces derniers auront l'honneur d'affronter les champions en titre dans les demi-finales de Conférence.
  • Le match "à suspense" : certainement LE grand match de cette semaine… tongue
    Les Chargers ont su profiter non seulement de l'avantage du terrain (acquis d'après une règle quelque peu discutable), mais surtout de leur "allant" de fin de saison. Rappellons en effet que San Diego a commencé la saison avec un bilan quasi éliminatoire de 4 victoires pour 8 défaites, mais ont ensuite enchaîné 4 victoires consécutives pour se qualifier de justesse (c'est donc leur 5ème victoire de rang).

    Les deux équipes sont restées très proches l'une de l'autre pendant tout le match, très défensif, et les Colts ont réussi à égaliser 17 - 17 à une minute de la fin. Donc prolongation en mort subite (moment assez rare et toujours palpitant), et c'est carrément par un touchdown final que les Chargers s'imposent (le plus souvent ces matchs en prolongation se concluent par un field-goal à 3 points). San Diego aura néanmoins fort à faire face à Pittsburgh en demi-finale, surtout si il fait -10°C à Pittsburgh, comme souvent à cette époque… wink
  • Le match des "occasions manquées" : incroyable gâchis pour les Dolphins devant leur public, un nombre impressionnant d'occasions manquées et de turnovers en leur défaveur, qui mènent ainsi à la plus grande différence de score de ce premier tour (alors que Miami aurait sans doute posé des problèmes à Baltimore sans ces erreurs à répétition).

Divisional

Les 4 équipes victorieuses se déplaceront chez l'une des 4 équipes têtes de séries (qui se sont donc reposées cette semaine), ce seront les demi-finales de Conférence ("Divisional Games").
À noter qu'avec l'élimination des Colts, ce sera la première fois depuis très longtemps qu'en Conférence Américaine ces demi-finales se dérouleront SANS les Indianapolis Colts NI les New England Patriots !! (les deux équipes se retrouvent souvent au stade de la finale de Conférence… wink).

Les 4 demi-finales seront intéressantes, mais personnellement ce sont surtout les matchs de dimanche qui me paraissent les plus à suivre (Philadelphie - New-York et San Diego - Pittsburgh).
  • On ne donnait pas cher de l'équipe emmenée par Kurt Warner face aux Carolina Panthers (sur le plateau d'avant match TOUS les analystes avaient voté pour une large victoire de Carolina).
    Et pourtant, un nombre incroyable d'erreurs du quarterback des Panthers, Jake Delhomme, a rapidement fait basculer le match vers la plus grosse surprise de la semaine. À la mi-temps, les Cardinals menaient déjà 27 à 7. C'est au final 6 turnovers (presque un record à ce niveau), interceptions et fumbles, qu'aura concédé Jake Delhomme dans ce match.

    Les Cardinals d'Arizona parviennent pour la première fois de leur histoire en finale de Conférence (leur dernier grand succès remonte à une époque où ni les conférences ni le Super Bowl n'existaient), et en plus, à cause de la défaite des Giants, ils joueront cette première à domicile.
  • Même si le match était annoncé comme le plus indécis des 4, les Giants, tenants du titre, étaient favoris à domicile. Mais la défense des Eagles a été impeccable et Eli Manning a semblé peu inspiré dans ce match. C'est d'ailleurs l'ensemble de l'équipe de New-York qui ne semblait pas dans le coup ce dimanche.
  • On attendait un match serré et défensif entre deux des meilleures défenses de la ligue, et on l'a eu.

    Le quarterback "rookie" de Baltimore, Joe Flacco, a parfaitement tenu sa place en lançant quelques passes vraiment exceptionnelles, c'est la première fois qu'un quarterback de première année remporte 2 matchs consécutifs en playoffs.
    C'est par un field-goal que les Ravens ont assuré leur victoire, éliminant ainsi la meilleure équipe de la Conférence Américaine cette saison (et même la meilleure de la ligue, avec 13 victoires).
  • Après les 3 victoires à l'extérieur (et donc l'élimination de 3 des 4 meilleures équipes de la saison régulière), les statisticiens de la NFL annoncaient dès le début du match l'un de ces fameux "NFL Fact" : jamais dans l'histoire les 4 équipes têtes de séries (exemptées du premier tour et recevant au deuxième tour) n'ont été éliminées à ce stade de la compétition… wink

    Comme prévu, il faisait froid dans le Heinz Field de Pittsburgh, et la première moitié du match s'est déroulé sous des bourrasques de neige. Mais cela n'a semble-t-il pas trop dérangé les californiens qui réussissent à tenir tête aux Steelers pendant cette première mi-temps (14 - 10 pour Pittsburgh).

    C'est au 3ème quart-temps que tout a basculé : 14'43" de temps de possession pour Pittsburgh !!
    Les 17 secondes restantes pour les Chargers étant juste le temps de lancer une interception…
    La neige s'étant interrompue, le match est devenu beaucoup plus offensif, d'où le grand nombre de points, mais l'écart était fait pour les Steelers, qui sont donc les seuls rescapés parmi les têtes de série.

Conférence

Les matchs de ce second tour ont été l'occasion de surprises incroyables, les meilleures équipes de la saison régulière se faisant éliminer les unes après les autres (alors qu'en plus elles RECEVAIENT leurs adversaires).

Les deux finales de Conférence de ces playoffs NFL 2008-2009 sont très intéressantes et s'annoncent très différentes l'une de l'autre :
  • en conférence nationale, on retrouve deux équipes revenues de loin (toutes les deux qualifiées de justesse en playoffs avec seulement 9 victoires, et les Eagles de Philadelphie réalisant en plus tout leur parcours en playoffs à l'extérieur), et dont le jeu flamboyant est principalement lié à leur attaque (Kurt Warner d'un côté, Donovan McNabb de l'autre).
  • en conférence américaine, le duel oppose les deux meilleures défenses de la NFL cette année, on s'attend donc plutôt à un match serré et rude. D'autant plus que les deux équipes sont issues de la même poule, et se connaissent donc très bien… wink Et se détestent cordialement ! rigole
Dans la première finale, Philadelphie est largement favori, malgré le fait de jouer à l'extérieur, parce que même après leurs récents succès, les Cardinals ont toujours une image de "loosers" (et en saison régulière les Eagles ont atomisé les Cardinals 48-20).
La deuxième finale semble plus indécise, mais Pittsburgh a les faveurs des pronostics grâce en particulier à leur expérience de ce genre de rendez-vous (face au quaterback rookie de Baltimore). En saison régulière, les Steelers l'ont emporté les 2 fois, mais à chaque fois de justesse.
  • Dès le début du match, les Cardinals, devant leur public à Glendale (là où a eu lieu le Super Bowl l'année dernière), ont démontré à tous qu'il fallait que les journalistes arrêtent de les appeler "la plus mauvaise des équipes jamais qualifiée en playoffs" (voire de l'histoire).

    Grâce au revenant Kurt Warner et surtout à l'adresse de son receveur Larry Fitzgerald, ils marquent 3 touchdowns en première mi-temps (TOUS de Fitzgerald !) et rajoutent 3 points supplémentaires en toute fin de mi-temps.
    De leur côté, les Eagles de Philadelphie se contentent de 2 field-goals, et sont donc menés, à la surprise générale, 6 - 24 à la mi-temps !! roll

    Mais tout change dès le retour des vestiaires. Soit Arizona se voyait déjà à la grande finale, soit de bons ajustements ont été faits par Philadelphie. Toujours est-il que les Cardinals se retrouvent soudain complètement inefficaces, tandis que Donovan McNabb réussit enfin à déployer son jeu : 2 touchdowns de Brent Celek en 3ème quart-temps permettent à Philadelphie de revenir dans le match (19 - 24), et un troisième touchdown lancé par McNabb permet aux Eagles de prendre la tête pour la première fois (25 - 24), à 10'45" de la fin du dernier quart-temps…
    À noter qu'ils ont loupé une conversion à 1 point, puis une conversion à deux points, l'écart n'est donc que d'un petit point.

    On se dit que le match a alors basculé, mais dès le drive suivant les Cardinals sortent enfin de leur léthargie : un long drive de près de 8 minutes, conclu par le coureur Tim Hightower (et en plus converti à 2 points) les fait reprendre un touchdown d'avance. Il reste néanmoins 2'53" à jouer, largement suffisant aux Eagles pour égaliser et emmener le match en prolongation, mais McNabb n'arrive pas à compléter ses passes, et Philadelphie perd finalement une quatrième finale de Conférence en huit ans.
  • Sans surprise, cette finale s'est jouée sur les défenses.
    Et donc sur les turnovers des deux côtés : 1 fumble perdu pour chacune des équipes, mais 3 interceptions du rookie Joe Flacco contre aucune pour Ben Roethlisberger !

    Les Steelers ont pris l'avantage au premier quart-temps avec 2 field-goals, puis on a vu un touchdown de chaque côté au deuxième. Un field-goal de plus pour Pittsburgh au troisième, mais Baltimore revenait au contact dans le quatrième quart-temps (à 2 points de Pittsburgh).

    Malheureusement, la deuxième interception de Joe Flacco, à environ 5 minutes de la fin du match, sera fatale à ses coéquipiers : récupérée par Troy Polamalu, elle lui permet de filer au touchdown qui conclut la victoire des Steelers.
    La fin de match sera en effet un peu confuse, avec une nouvelle interception du quaterback des Ravens et un fumble, et surtout marquée par une très longue interruption de jeu (15 minutes) à cause d'une grave blessure d'un joueur de la ligne offensive de Baltimore.

Super Bowl

Ce Super Bowl XLIII est moins attendu que celui de l'année dernière (voir Super Bowl XLII 2007-2008). D'une part, il n'y a pas ce fameux attrait pour la saison parfaite des Patriots (qu'ils n'ont finalement pas réussie, puisque ce sont les Giants qui l'ont emporté dans ce final extraordinaire). D'autre part, la présence surprise des Cardinals d'Arizona à la grande finale intrigue plus qu'elle ne suscite l'intérêt. Certains n'hésitent pas à prévoir une très large victoire des Pittsburgh Steelers de 12 ou 14 points (même si chez les bookmakers, méfiants, la côte n'est que de 6 ou 7 points).
Néanmoins, la présence d'un grand quaterback comme Kurt Warner et une équipe très offensive comme Arizona en face d'une défense solide comme Pittsburgh, peut laisser augurer un bon match si les deux équipes jouent à leur niveau.
Si la défense de Pittsburgh réussit à bloquer Kurt Warner et Larry Fitzgerald (attention également au retour de Boldin), les Steelers ne feront qu'une bouchée des Cardinals. Mais si ceux-ci répètent leur première mi-temps de la finale de conférence, sans la baisse de niveau de la deuxième mi-temps, et qu'en plus, Roethlisberger ne réalise pas un bon Super Bowl comme en 2006, on pourrait assister à une grosse surprise… roll

Super Bowl XLIII
Les Arizona Cardinals sont l'une des plus vieilles franchises de foot US : fondée en 1898 à Chicago, elle est passée par Saint-Louis avant d'atterir en Arizona. Vainqueur du titre en 1947 (mais depuis tout a changé dans le foot professionnel), elle a toujours traîné une légendaire réputation d'éternels perdants. Et pourtant, ils accèdent aujourd'hui à leur premier Super Bowl.
C'est sans nul doute grâce à Kurt Warner qui a l'un des parcours les plus atypiques parmi les quaterbacks : après avoir eu des difficultés à intégrer la NFL, il a été contraint de s'exiler en Europe pour pratiquer son sport. Enfin remarqué, il intègre l'équipe des Rams de Saint-Louis, et dès sa première saison en tant que titulaire (sa deuxième aux Rams), il réalise une saison exceptionnelle : nommé meilleur joueur de la ligue, il mène les Rams au Super Bowl et le remporte. C'était en 2000 (Super Bowl XXXIV).
Suivent 2 belles saisons où il bat tout un lot de records historiques pour un quaterback, un autre titre de MVP, un autre Super Bowl (XXXVI, perdu contre New England). Puis 2 saisons perturbées par des blessures, qui le conduisent chez les New-York Giants, mais en tant que "support" du jeune Eli Manning.
Depuis la saison 2005, il est chez les Cardinals, là encore en concurrence, et ce n'est qu'au milieu de la saison dernière, grâce à une blessure du titulaire, que Kurt Warner est revenu au plus haut point. À 37 ans, il est pratiquement revenu cette année au niveau de performance qu'il avait il y a 8-9 ans chez les Rams !! tongue

Présentation Pittsburgh - Arizona
Reuters
Les Pittsburgh Steelers sont quant à eux parmi les équipes les plus habitués au Super Bowl : ce sera leur 7ème participation ! tongue (soit à une unité du record de Dallas). Mais de plus, avec 5 victoires (en 1975, 1976, 1979, 1980 et 2006), ils partagent actuellement avec Dallas et San Francisco le record de victoires. Une 6ème victoire les placerait donc seuls en tête de ce classement prestigieux.
Leur seule défaite en Super Bowl remonte à 1996 (Super Bowl XXX). Quant à leur dernière victoire, c'était il y a 3 ans contre Seatle : voir Super Bowl XL 2005-2006.
Le coach a changé depuis, certaines grandes stars sont parties, mais Ben Roethlisberger lui, est toujours là. Arrivé lors de la saison 2004 en tant que rookie chez les Steelers (et nommé meilleur rookie offensif cette année-là), il a amené son équipe jusqu'à la finale de conférence. Puis ce fut la saison victorieuse de 2005, avec ce parcours tout à l'extérieur pendant les playoffs, et donc cette victoire sur Seatle au Super Bowl XL. Roethlisberger est devenu ce jour-là, à 23 ans, le plus jeune quaterback à remporter un Super Bowl (mais avait été particulièrement mauvais ce jour-là). Lors de la saison 2007, il est devenu le second quaterback avec 3 matchs "parfaits" à la passe (selon une évaluation statistique compliquée…) et le premier a en avoir réussi 2 la même saison.
On le voit, après 5 saisons, Ben Roethlisberger est parti sur de très hautes statistiques, et le duel contre son aîné de 11 ans, Kurt Warner, risque d'être explosif dans ce Super Bowl XLIII… oui
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